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24 avril 2009 5 24 /04 /avril /2009 12:20

Résumé des épisodes précédents :

 

En plus que je sois intelligent, les jolies poésies de mon tiroir sont les plus belles choses qu’on ait jamais écrit depuis des siècles et ma femme ça la fait super chier… 

 

Mon succès ne fut pas démenti.

Tellement, que je faisais remonter mes textes avec des petits commentaires de remerciements (oui les textes remontent tout en haut dès qu’ils ont un nouveau commentaire).

Je me suis aperçu que les textes rigolos ou polémiques avait beaucoup plus de succès que les autres. Alors je me suis mis à faire dans le rigolo.

J’échappais en général aux critiques acerbes de certains qui venaient dans l’unique but de se moquer, je pense que c’était principalement parce que je faisais dans le rigolo.

Il faut bien reconnaître que leurs critiques étaient souvent justifiée et qu’elles me faisaient tout aussi souvent rire ( mais pas  autant que les répliques outragées de leur destinataires qui n’avaient de cesse que de relancer un débat qui leur était perdu d’avance).

C’est à partir de là que mes yeux ont commencé à s’ouvrir tels des persiennes de chez Lapeyre.

Faut dire, j’étais tellement content et certainement imbu de moi-même d’être lu, que je ne faisais plus attention à rien si ce n’est de faire remonter mes textes et de compter mon nombre de lecteurs.

J’en suis venu à me demander si ma femme n’avait pas raison. Comme toujours. Non, comme souvent. Enfin comme de temps en temps.

 

A suivre…

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commentaires

L
Faut bien avouer que dans les commentaires, c'est souvent les réactions outrées de ceux qui les reçoivent qui sont les plus intéressantes. D'ailleurs, dès qu'il y a plus de deux commentaires sur un texte, on ne vient plus pour lire le texte, mais les commentaires.Je me demande si on n'est pas complétement pourri au fond de nous.
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L
Faut bien avouer que dans les commentaires, c'est souvent les réactions outrées de ceux qui les reçoivent qui sont les plus intéressantes. D'ailleurs, dès qu'il y a plus de deux commentaires sur un texte, on ne vient plus pour lire le texte, mais les commentaires.Je me demande si on n'est pas complétement pourri au fond de nous.
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