8 septembre 2006
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Je marchais dans la forêt,
Les feuilles étaient dorées,
Il y avait un peu de boue
Un peu partout.
Je courrais dans la campagne,
Vêtu juste d'un pagne,
Je piétinais tout plein de fleurs
Qu'avaient très peurs.
Les feuilles étaient dorées,
Il y avait un peu de boue
Un peu partout.
Je courrais dans la campagne,
Vêtu juste d'un pagne,
Je piétinais tout plein de fleurs
Qu'avaient très peurs.
( Commentaire :
Si je vous dis que ce poème a battu le nombre de lectures sur un site de poésie
qui est une référence en la matière,
que je m’abstiendrai de nommer par charité et modestie
(sachez seulement que les initiales sont t.l.p,
n'insistez pas vous n'obtiendrez rien de plus),
vous allez me rire au nez ,
Ô, je vous entends d’ici, comme si je vous avais fait,
« Mais pour qui se prend-il ? »
« Il se prétend poète sous prétexte qu’il a fait, un jour,
rimer « Amour » avec « Jamais » ! »
Premièrement, ce n’était pas un jour mais une nuit,
Deuxièmement, essayez un peu d’en faire autant pour voir,
vous qui me jetez de l’eau propre au visage tel si j’étais une souillon,
Et pour la peine, n’espérez pas de troisièmement.
Mais moi, oui moi, qui écris là devant vous,
j’ai des preuves de mon éclatante poétitude.
Des preuves inoxydables, des preuves irréfutables,
en un mot : des preuves qui prouvent.
Et je vais vous les exposer aujourd’hui, ici même,
au nez et à la barbe de vos yeux ébahis.
Tenez, Je vous les livre poings et mains liés :
Réponses Lectures
10729 |
10678 lectures !
Vous avez bien lu.
Alors ?
On fait moins le malin !
Un tel succès peut paraître étonnant au commun des mortels, mais c’est ainsi,
Les chiffres ne mentent pas, contrairement à beaucoup de lettres.
Après ça, vous pouvez les remiser par-devers vous vos sarcasmes.
Fin du commentaire.)